Gérer les risques de non qualité et le référentiel Qualiopi !
Pour réussir intégrer Qualiopi comme une opportunité dans sa démarche qualité
La démarche qualité ne doit pas être considérée comme « une obligation de plus » mais une opportunité de s’assurer que l’on « fait bien et voire toujours mieux ».
Elle doit avoir des impacts positifs sur la qualité du service rendu, l’efficience de l’organisation, le management et les relations au travail.
Une dynamique qualité commence par la déclinaison des objectifs de performance et de progrès poursuivis pour les apprenants, l’organisation, les salariés, les partenaires, etc…
A l’issue de cette première étape et quel que soit le référentiel la suite s’amorce ainsi :
- Qu’est ce nous faisons à ce jour et/ou nous comptons faire dans l’idéal, devons faire nécessairement, pour maîtriser la qualité ?
- Comment dans les faits dynamisons-nous spontanément ce que nous faisons ?
- Comment mesurons-nous les impacts de notre démarche et qu’est-ce que nous en retirons ?
Cette démarche permet à l’organisme de se confronter par la suite, à n’importe quel référentiel.
Néanmoins, pour ce qui concerne le référentiel Qualiopi, il faut considérer « le risque de non qualité » notamment sur deux aspects.
- L’interprétation de certains indicateurs d’un auditeur à un autre peut varier de façon non négligeable. Cela est lié probablement au fait que la notion « d’éléments de preuve » du référentiel Qualiopi, fait référence parfois à des ressources à produire, d’autres à des dynamiques à démontrer et enfin à des indicateurs de mesure très concrets à considérer.
- En cas de non-conformité sur certains indicateurs, l’impact pourrait se révéler mineur ou majeur (risque de suspension de l’activité) et donc, dans tous les cas, freiner la démarche de certification.
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